Né en 1492 avec la découverte du Nouveau Monde, le rêve américain n’aura jamais cessé de s’étendre et de fasciner. Il est le rêve de ceux que le pouvoir religieux persécutait, que le pouvoir politique emprisonnait, que la faim taraudait. Un seul chiffre, à la sobre éloquence : entre 1815 et 1914, entre Waterloo et la Première Guerre mondiale, en cent ans, trente millions d’Européens sont entrés aux Etats-Unis. Le rêve américain est, chez Yves Berger, un grand rêve d’enfant, né sous l’occupation allemande. Chez l’adulte et après des dizaines et des dizaines de voyages, il a gardé la même force. Son Dictionnaire amoureux évoque l’Amérique emblématique du Sud, de l’Ouest, des indiens, de la guerre de Sécession et la splendeur des parcs nationaux. Il raconte l’histoire, la géographie, la faune, la flore, Harlem, et fustige l’antiaméricanisme. Toute la mythologie de l’Amérique est là
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