Ah, enfin tu me prends dans tes mains ! Ah, enfin tu lis ma quatrième de couverture ! Tu ne peux pas savoir comme j’attendais cet instant. J’avais si peur que tu passes sans me voir. J’avais si peur que tu rates cette expérience que nous ne pouvons vivre qu’ensemble. Toi lecteur, humain, vivant. Et moi le livre, objet, inerte, mais qui peux te faire décoller pour le grand, le plus simple, le plus extraordinaire des voyages.
PapaDustream