Comme beaucoup d’entre nous, Guy Bedos avait suivi la dernière campagne de gauche, celle de François Hollande, avec espérance. Mais son regard sur ce quiquennat décevant, il l’a résumé en une phrase assassine : « Nous sommes toutes et tous des Valérie Trierweiler. » À l’heure où l’extrême droite se projette au pouvoir, où tous les pronostics sont mis à mal par les rebondissements de l’actualité, il se livre de nouveau à son exercice favori : la revue de presse.
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