Stephen Hawking a dit : « Nous vivons dans le plus probable de tous les mondes possibles ». Quel rapport ? Aucun, mis à part que ce que je vis est probablement la plus improbable des possibilités. Vous croyez en la vie après la mort ? Rassurez-vous, en bonne scientifique, Séshat non plus. Pourtant, après la perte de sa maman, la jeune physicienne en rêverait. Evangéline va néanmoins trouver le moyen de communiquer avec sa fille par le biais d’énigmes à résoudre qu’elle lui a concoctées avant de mourir. Les indices mènent Séshat jusque dans le sud de la France, dans un garage de Palavas-les-Flots. Le hic ? Les propriétaires sont deux ours mal lunés, aussi aimables qu’une clé à molette, qu’il ne faut pas chercher de trop près. Qui sont Damien et Elyad ? Sa famille ? Non, impossible. On ne peut pas être autant attirée par son frère. La raison de sa présence dans ces murs lui est inconnue, elle doit pourtant être logique si sa mère l’a envoyée jusque-là. En attendant de la trouver, Séshat s’efforce de ne pas baver sur cet homme aussi prévenant qu’un coin de meuble. Quand Elyad sort ses outils pour lever le nez de Séshat hors de ses équations, ça crée des étincelles.

 

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