Drôle à en pleurer, avec des plaisanteries à la pelle et une chaleur torride. Sale petite pagaille de la quarantaine n’est pas une romance typique de fausse relation. C’est mieux. Simone doit une faveur au beau et maussade Wesley Byron, et il la réclame. Il a besoin d’une domestique. Oui, du genre à nettoyer une maison. Uniforme noir et blanc non inclus (elle a demandé). Sauf que lors de son premier jour, Simone se retrouve enveloppée dans les bras musclés de Wes alors qu’il la présente à sa famille en utilisant le mot « petite amie » au lieu de « domestique ». Puis il baisse la tête et murmure trois mots contre son oreille : Joue le jeu. Pour une femme qui a eu affaire à un homme difficile pendant onze ans (et qui a divorcé de lui), ces mots sont comme jeter une allumette enflammée dans une boîte de feux d’artifice. Elle jouera le jeu. Elle pourrait même s’amuser au passage. Et quand les explosions commenceront, tout le monde profitera du spectacle…
PapaDustream