Tout a commencé par un petit jeu d’action ou vérité… C’était ma première erreur. Je n’ai jamais su résister à un « action ou vérité », et il le sait très bien. Franchement, je suis bien consciente que c’est un défaut que je vais devoir corriger. Ma deuxième erreur ? Je crois bien que c’est d’avoir accepté cette relation sans attaches avec mon meilleur ennemi, histoire de tourner la page une bonne fois pour toutes. Et la troisième, au cas où vous vous poseriez la question, c’était de croire que tout ça ne m’éclaterait pas en pleine face si j’établissais une liste de règles à suivre : En aucun cas, ceci n’est une relation. C’est purement sexuel. On ne couche avec personne d’autre tant que cette histoire durera. Notre espèce de relation doit rester secrète. C’est alors qu’il a ajouté une règle à la liste : je ne dois jamais me tripoter sauf en sa présence. Oh… ai-je oublié de préciser que l’homme en question n’est autre que Ford Hamilton, mon ex-demi-frère ? … Qui pourrait très bien ne pas rester « ex » très longtemps ? Il ne me reste qu’une chose à dire… Vie de merde.

 

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