Exclu du « 36 » et relégué à la section « Suicides », la plus ringarde du Quai des Orfèvres, le lieutenant Guérin, flanqué de son stagiaire Lambert, se retrouve plongé dans une épidémie de suicides plus qu’étranges. Ils croisent alors la route d’un franco-américain dont l’ami le plus cher se serait tué en direct sur une scène sado-maso du Paris underground. Persuadé que son ami ne s’est pas suicidé, John Nichols va mener l’enquête avec nos deux flics à la dérive. Un récit haletant tout du long, grâce au jeu de fausses pistes et à l’admirable palette de personnages secondaires qu’Antonin Varenne fait surgir. « Noir, c’est noir »… Très noir, mais plein d’humour et d’humanisme
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