Un patron de presse célèbre avait comparé le journaliste à la mouche sur le mur » qui voit tout et entend tout, sans qu’on la remarque. John Cotton ne savait pas ce qu’avait vu et entendu Merrill McDaniels et si cela avait un rapport avec son cadavre dans la rotonde du capitole. Tout ce qu’il savait, c’est que McDaniels préparait un article « susceptible de tout faire sauter » et qu’il avait laissé des notes dans un carnet. En reprenant l’enquête, Cotton allait découvrir une affaire de corruption qui lui permettrait d’écrire l’article de sa vie, à moins qu’il ne signât son arrêt de mort. Avec « La mouche sur le mur », son deuxième roman après « La Voie de l’ennemi », Tony Hillerman abandonnait provisoirement la réserve navajo pour les coulisses du pouvoir politique a Washington. « Un livre provocant, qui vous met K.O. » (The New Yorker) »
PapaDustream