Veuve d’un Noir que le Viêt Nam avait déboussolé et qui faisait dans l’assassinat en gros, alcoolique invétérée, riche sans le savoir, elle me plut infiniment. Moi qui gagne ma vie comme huissier, je me chargeai de lui récupérer son argent. J’ignorais que j’allais avoir affaire à M. Perez, » conseiller en investissement » qui, en guise de stylo-bille, utilisait le revolver, de préférence par malfrats interposés. A Detroit, capitale de l’automobile, cette histoire fit plus de boucan que cent mille pots d’échappement crevés.
PapaDustream