C’était un homme gentil, étrange, sans aucun doute, mais gentil. Et bien habillé : une veste blanche de yachtman mettant en valeur sa large poitrine, une casquette de marin sur des cheveux blonds en désordre. Des cheveux longs, gardant l’empreinte du passage d’un peigne. De grands yeux bleus, calmes, des bras très longs contrastant avec des jambes courtes. Le corps d’un singe renfermant l’âme d’un homme intelligent et sensible. Le Babouin blond » nous permet de retrouver les policiers hollandais, Grijpstra et De Gier. Cette saga a placé Wetering au premier rang des auteurs policiers contemporains. »
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