Je descendais le dernier coteau du Canigou, et, bien que le soleil f t d j couch , je distinguais dans la plaine les maisons de la petite ville d’Ille, vers laquelle je me dirigeais. Vous savez, dis-je au Catalan qui me servait de guide depuis la veille, vous savez sans doute o demeure M. de Peyrehorade ?- Si je le sais ! s’ cria-t-il, je connais sa maison comme la mienne ; et s’il ne faisait pas si noir, je vous la montrerais. C’est la plus belle d’Ille. Il a de l’argent, oui, M. de Peyrehorade ; et il marie son fils plus riche que lui encore.
PapaDustream