« Mon premier contact avec les secrets qui allaient gouverner ma vie, ce fut cette trouvaille que je fis par un après-midi désœuvré dans le grenier de notre maison de Voorburg.
Derrière quelques malles hermétiquement closes, je découvris dans l’armoire-penderie, dissimulée au-delà d’une haie touffue de manteaux d’hiver dégageant une forte odeur de naphtaline, une autre malle qui, elle, n’était pas fermée à clé, ce qui, rétrospectivement, ne laisse pas d’étonner.
Outre quelques chemises, des pantalons et diverses babioles, elle contenait un casque. Un casque noir à la brillance menaçante, portant d’un côté un emblème noir-blanc-rouge et de l’autre deux petits éclairs d’un blanc éclatant… »
Ainsi commence L’Héritier du nom, fresque d’une ampleur inouïe qui raconte l’histoire de la famille Münninghoff, dont la vie a coïncidé, peu ou prou, avec les fracas du XXe siècle.
L’Héritier du nom a rencontré un fulgurant succès aux Pays-Bas et a été couronné par le prix Libris: le plus prestigieux en non-fiction.
En cours de traduction dans plusieurs pays, ce livre fera bientôt l’objet d’une adaptation au cinéma.
PapaDustream