«La peau du temps, à elle, me suis frottée. À en perdre peaux mortes, prisons et prêt-à-penser.» Un début qui ne se laisse pas conter, une mémoire qui joue au reboot incessant, un "plan" qui s'ignore, des heures à l'envers, il ne manque qu'un élixir de vérité et vous obtiendrez la formule complète pour naviguer entre les lignes et les eaux métamorphes de ce premier opus de " la peau du temps". Parce que Shakespeare disait vrai... "Tempus fugit" est de l'étoffe dont sont faits les rêves. Comme un rappel que la vie est bordée de sommeil.
PapaDustream