Dans cet ouvrage, l’auteur John Libertin vous propose une nouvelle fois un récit inspiré d’une histoire vraie. Les lieux, noms et situations des personnages ont été modifiés afin de préserver l’anonymat des personnes. Quand ce commercial remarque cette belle brune, il est loin de se douter qu’elle ne travaille qu’à quelques mètres de lui. Au fur et à mesure de leurs contacts, il va la pervertir et faire découvrir les plaisirs de la chair à sa nouvelle conquête. Des plaisirs conjugués aussi bien au masculin qu’au féminin. Extrait : Cédric l’installe délicatement sur le recoin de la petite table présente. Il positionne les fesses de Julie proche du rebord et écarte ses jambes gainées de bas. Il s’accroupit alors devant elle, et commence par venir déposer un baiser mouillé sur son bel abricot. Là, il sent déjà le doux parfum de l’intimité de sa belle. Cette fragrance d’excitation féminine le ravit de bonheur. De sa main droite, il écarte les grandes lèvres, puis sa langue prend le relais. Tout en douceur, très lentement, sa langue monte et descend sur la vulve de sa partenaire. Sa langue continue de farfouiller cet antre chaude et humide pendant que ses deux mains glissent sur les bas de Julie. Cédric ferme les yeux et savoure ce nectar qui s’offre à lui. Il prend énormément de plaisir et les gémissements incessants de Julie ne font que l’encourager de plus bel. Du bout de sa langue, il parvient à écarter les deux petites lèvres et s’immisce jusqu’à l’entrée de son intimité. Sa bouche aspire ces lèvres et en fait frissonner Julie. Il continue ces caresses buccales pendant de très longues minutes sans jamais s’arrêter de parcourir de ses mains les jambes de Julie. Son bel abricot est maintenant tout ouvert, et on ne peut plus humide ; et sa saveur est encore meilleure. De haut en bas, la langue de Cédric lèche tout le délicieux jus de sa belle. Mais c’est surtout quand il titille et mordille très légèrement son clitoris qu’il entend Julie gémir d’un son étouffé pour ne pas se faire remarquer. Il l’entend pousser ses petits « oui » de plus en plus rapprochés. Il sent sa main qui se pose sur sa tête et qui lui plaque son visage de plus en plus fort sur ce sexe lisse et humide. Les gémissements de Julie se font de plus en plus rapprochés, et Cédric, accroupi devant elle, sent ses jambes se replier contre lui pour bientôt le serrer complètement. Et enfin, dans un dernier râle, Julie atteint l’orgasme et c’est dans un dernier « oui » qui n’en finit pas que sa belle monte au septième ciel sous les coups de langue de son amant.

 

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