Jamais Cecilia n’aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l’enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n’ouvrir qu’après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l’ouvre et le temps s’arrête John-Paul y confesse une faute terrible dont la révélation pourrait détruire non seulement leur famille mais la vie de quelques autres. À la fois folle de colère et dévastée par ce quelle vient d’apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va la ronger, si elle parle, ceux quelle aime souffriront.
PapaDustream