Prilepine ose et assume le romanesque pour raconter les Camps des Solovki à destination spéciale – genèse du Goulag – à travers l’histoire d’amour d’un détenu et de sa “gardienne”. Un vrai roman russe dans la lignée du Docteur Jivago de Pasternak ou de la Saga moscovite d’Axionov, un grand livre, dans une langue dense, tenue, charnelle de l’écrivain le plus populaire actuellement dans son pays.
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