Le capital, c’est ta vie, il te ronge, il te brise, il t’abîme. Tu n’échapperas pas à sa domination qui est la mesure de toute chose et de toute existence. Tu paniques, n’arrives plus à respirer, tu ne t’appartiens plus. L’empire de la valeur a fait de toi son esclave. Dans ce monde, tu es devenu ton propre bourreau.H. J.Dans ce roman, Hugues Jallon raconte de l’intérieur l’effondrement psychique d’un personnage dévasté par la violence du capital.
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