« Puisqu’on me prive de ta présence, Héloïse, donne-moi au moins par tes mots la douce essence de ton être. »
Ces mots concluent les lettres qu’Héloïse Kaldan, journaliste à Copenhague, reçoit régulièrement depuis quelque temps. Postées de France, elles sont signées d’une certaine Anna Kiel.
Héloïse n’a aucun lien avec cette femme. Pourquoi celle-ci s’obstine-t-elle à lui écrire ? Que cherche-t-elle à lui dire ?
Trois ans plus tôt, Anna Kiel a égorgé un avocat de 37 ans. En cherchant à comprendre le mobile de ce meurtre, Héloïse rouvre sans le savoir une page d’un passé qu’elle croyait définitivement tournée.
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