Si dans le métro l’agitation, le regard des gens, la gêne… tout ça me tenait loin de préoccupations plus prosaïques, je sens maintenant parfaitement sa musculature sous mes cuisses et mes mains. Tout comme la chaleur qui émane de lui ou son parfum dans son cou quand il m’a fait chuter en avant. La situation est bizarre, inédite, mais elle ne réussit pas à elle seule à éclipser le léger trouble que je tente d’ignorer. Surtout ses mains qui en ont profité pour glisser vers mes fesses. Genre vraiment, vraiment proches…
PapaDustream