Qu’on ne s’y trompe pas : la sorcière n’est pas le sorcier au féminin. Elle est d’une autre nature. Quand bien même parviendrait-on à faire l’inventaire exhaustif des actes, des prodiges, des maléfices, des mirages relevant de la sorcellerie, on n’aurait pas encore mis à nu le mystère de la sorcière.Dans nos contrées d’Europe, trois ou quatre siècles durant, leur rendant l’hommage flamboyant et purificateur du bûcher, on a consumé des sorcières par dizaines de milliers. Mais, ce faisant, a-t-on réduit en cendres « la » sorcière, l’amante des songes obsessionnels de clercs et de juges qui en perdaient la raison ?Du cavalier noir de Verberie à la « dernière» sorcière Anna Göldin, en passant évidemment par Salem, cet ouvrage vous propose de (re)découvrir les plus grands procès de sorcellerie de l’histoire. Et peut-être de percer le mystère d’une figure incontournable.
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